Jeudi 17 mai, la Grèce s’est dotée d’un gouvernement technique provisoire. Il devra expédier les affaires courantes jusqu’aux nouvelles législatives du 17 juin, puisqu’après le scrutin du 6 mai le Parlement n’a pas réussi à former une majorité. En cause, le rejet des politiques d’austérité contenues dans le mémorandum signé entre la Grèce et ses bailleurs de fonds, la troïka UE, BCE, FMI.